à partir de 18 heures petit apéro et premier film à 18h30:
“La dialectique peut-elle casser des briques” de René Viénet (1973)
un film de kung fu chinois redialogué (on disait “détourné” à l’époque) à la mode situationiste . En gros gars s’oppose aux bandes organisées du grand capital qui menacent de dépouillé les prolo-villageois du peu qui leur reste. En bondissant partout comme un gros lapin et en distribuant les torgnolles il donne bien du fil à retordre aux administrateurs corrompus de la pauvreté organisée.
et puis après une pose, à 20h30:
“Kozure Okami : oya no kokoro ko no kokoro” de Buichi Saito (1972)
Itto, un samouraï déchu erre avec son fils, Daigoro, qu’il trimballe dans un landeau trés spécial. Au passage, il assassine n’importe qui pour quelques pièces d’or et poursuit sa vengeance contre les membres du clan des Yagyu.
“Baby cart 4: l’âme d’un père , le coeur d’un fils” est , comme les 5 autres films de la série Baby Cart, bourré de cinglés du sabre qui se suicident pour un oui ou pour un non, de tatouages (trés bien) mal placés, de formidables giclées de sang et d’oeillades méprisantes comme dans les meilleurs westerns spaghettis. Le tout emmitouflé dans les paysages remarquables d’un Japon champêtre et arriéré…
(film japonais en VOST adapté de la BD “Lone Wolf and Cub”)